mercredi 6 mai 2009

L’être ange jeté / partie 2

Toujours le feu de joie !
d’Aragon et de soi, entre
la liberté de l’éros,
et l’échec de soi.

PRIÈRE

Comme j’avais fais des prières pour rencontrer un petit frère, à la recherche d’un grand frère, à la recherche d’un petit frère, ce qu’ils souhaitent tous, mais impossible… je rentrais, j’avais faim, j’ai cru qu’un garçon me suivait. Tiens ?!
Je vais pour pousser la porte, là j’avais prévu de me retourner, un mec me dépasse sur le banc quatre mètres après ma porte, si tendre, s’assoit, fume une cigarette, regardant dans ma direction, le vague.
J’hésite, m’étonne, m’avise et le rejoins. Tu as une cigarette ? Il me l’offre — m’allume — je m’assois. Il regarde ailleurs. Plus beau que toi, oh Dieu, il n’était pas.
Je lui ai pris une seconde cigarette, lui ai lu un poète. Michaux. Toutes les poésies parlaient de notre rencontre, de mon espérance — et circonstanciaient la faim et l’amour. Il trouvait ça “enfantin”. C’était un enfant.
Deux fois je lui ai dit tu peux venir fumer des cigarettes chez moi. Quand il monte les escaliers, je suis devant et le regarde aux tournants, il évite toujours mon regard. Là-haut alors que j’avais marqué tant de respect, qu’il commençait lentement à regarder mes images (suggestives) au mur, je me suis levé et l’ai caressé directement. Il s’est sauvé.
Je déclenche une complicité, un amour, ils sont fans de moi, mais comme disait Laurent, tu annules ta créativité, toutes les sources d’un nouveau réseau, en l’effrayant, en ressemblant aux mauvaises histoires des parents.
Alors que je l’attendais, que je l’aimais, qu’il m’aimait déjà, ne le savait pas mais le savait très bien et se protégeait ; il m’accompagnait, il me tenait la main ; il commençait à me découvrir, peut-être qu’il tremblait, et je l’ai fais partir.
Je voudrais un gazouillis de garçons autour de moi, je voudrais être le garçon aux oiseaux, et tout ceux qui nagent vers moi, au lieu d’en faire des amis et n’avoir qu’un seul amant, l’un d’entre eux, mais en attendant longtemps pour l’avoir, le mériter d’être, au lieu de ça je touche la petite à tous, ces amis, ils ne comprennent pas cette invite… si vite ?
Et je suis triste de provoquer le Départ de mes propres Rêveries, qui me font pourtant accroire l’adoption de tous les petits garçons.
Puisque cet effort cette prière et ce don sont tout à fait sincères, et qu’incroyablement il me faisait don de sa confiance en mon amour, mais j’en suis fier, et je casse la veille union, la belle âme, le beau jour, le bel avenir ; flâner et rire de pleurer, à me souvenir de tous ces dons qu’il aurait partagé, parce que je l’aurais respecté, dans ses demandes, avec le temps.
Mais je suis pressé de mourir. Assez !
Je t’aime petit brun. Tous mes petits huns ? Je ne suis pas assez humble ; je ne vous donne pas, disons je ne donne pas assez à Dieu, ce qui nous est commun, le tout transcendant dans les petites choses qu’il faut appréhender avec doigté. Justement mon doigt sur son doigt — et je vais me branler.
Alar Alar Alarmé ! Désaaarmé !
Je voudrais être l’esclave d’un enfant, son objet pour me punir de ne pas savoir tout asservir au pur plaisir de n’être qu’un, non pas un plus un. Tout asservir, comme elle vient.
Mes questions devraient être éteintes.
Sans douter je devrais remercier cet enfant et attendre.
Attendre — et je déjoue — je panique tout — mon bien aimé.
L’ingratitude de mon histoire — et je me traque, ce vêtement que je ne veux pas, ce personnage que m’a fait l’histoire — qui écrase tout.
OCTOBRE

Jeudi 16 octobre — Deuil de Coluche.
Il désamorçait les insultes, vivant il aurait listé tous les gros mots à devenir des mots doux, raisons de ne plus se haïr.

(page découpée)

Madame et monsieur s’appelaient les aristos depuis la Révolution de 1789, la multitude se donne du madame et du monsieur, ou encore : ma bourgeoise.
*
Les meilleures actrices sont antithèses, elles essaient d’être, aussi la thèse, Huppert, Crawford, Garbo,
25 octobre eu matin

*
Le journal du 18e arrondissement de Paris titre “La peur dans notre ville”, page suivante “Au service des personnes agées” puis “Vos commerçants sont sympas”, en lettrages ininterrompus, infinis, “sont sympas vos commer.”
*
Les nuages au-dessus des toits, la bave d’un volcan bleu, aahh voyager, six mois partir, six mois fixés, j’aime tant la nature, la culture des hommes, voyager, ne pas m’attacher, cette profusion, la partager, laisser couler, le déplacement, l’instant, un itinéraire, un pont, entre les regards,
*
(page découpée)

on m’a forcé la main à ne pas me donner les moyens d’exister.
Les parents et les présidents. Tout pour que je désespère. Je suis aussi votre désespoir.
Chanson des années retouchées

dans ce pensionnat
immédiatement on ne me donna
la chair de poule
je pensais que ça va se passer
maintenant je vous dis c’est assez
j’en perd la boule
Chirac ici ne m’laissez pas moisir
c’est si facile de m’faire plaisir
je n’ai qu’une envie revoir Paris
c’est toute ma vie et j’veux à tout prix
retrouver la botte des CRS
en somme du bon temps
vous direz viens gentil ça va ti mon petit
assez d’remontrances et de leçons
on veut de la danse et des chansons
et si j’m’en vais d’ce Jules Ferry
J’n’ai qu’une idée en tête revoir la vie
ce gouvernement qui a d’l’argent
avec son minois engageant c’est une pimbêche
c’est pervers sous un air puritain
si c’est ça les gens du gratin
j’aime mieux la dèche
vivement je veux retrouver mon chez-moi
ma petite chambre sous les toits
assez de leçons
rue des amours
moi j’ai atterri
j’n’ai qu’une idée en tête
revoir la vie

BOUFFÉE

Si ma vie ne sert à rien, il faut toujours tout respirer dans un petit rien un changement de lumière, dehors, et pour bien apprécier il faut comprendre bien ce qu’un être généreux peut souffrir à cause du reste, qui n’est vraiment plus rien : ce qui reste derrière vous, humain, cette stupeur de ne pouvoir rien, faire pour les siens. Et s’accommoder de tout aussi fort qu’un petit rien.
Moi être l’insecte pour les autres.
Les autres être insectes pour moi.
Ne me gêne pas.
Ce sont les gênes de papa.
Car on sait qu’on est perdu et on le peut pas, on le peut mais ça n’se fait pas, ça se fait mais ça n’se peut pas.
Le soleil apparaît.

Je vis ma perte comme le régime de la politique.
Messieurs, vous avez faillis bien avant que vous ne me donniez le goût de faillir. La lucidité je la réclame sur moi, je la réclame aussi sur vous, que votre propre regard sur vous-même soit enfin clair, ça va faire mal, et bien quand nous aurons tous le même cœur…
Je suis fort, mais ai voulu pleurer le monde — qui charrie et salit mon onde —mais ma goutte d’eau est votre gnougnoutte, ma poésie pour le plein de la peur, qui ne sait pas comment, mais ouvre ses pores. J’adore.

Un écheveau de raisons fait qu’on tient, et qu’on ne tient pas. Trouver les raisons les raisonnements, les réduire au néant parce que c’était géant.
Et c’est là qu’on a le grain de poésie, tout simplement le tamis.

Je fais de moi-même un portrait, mais suis négligent, ne fait pas systématiquement le tour d’une question, sinon dans le temps, et j’espère par cycle, l’intuition revient et se sédimente, s’orthographe. Mais je m’oublie, sur un sujet de parti-pris, je me laisse prendre et n’en donne pas tout le parti. Sauf quelques fois, pour le plaisir du lecteur et celui de mon honneur. Parce que quand j’ai tout dis… mais quand j’ai pas tous dis, la réponse déjà contenue, se formule, j’espère avec votre langue, quand je l’énonce.

Quand je me laisse prendre à la langue experte, je jouis.

Entre l’échec et la beauté, si mince, savoir qu’être flippé n’en est pas moins un fait princier.
… à défaut d’être prétentieux, je me déjouerai tout le temps, quoi.
Et je me suis nié toute existence parce que je n’arrivais pas à cette connaissance ; accorder Dieu et la relativité. Suffisamment tout se voir en même temps, pour opérer de bons choix. mais tout voir de bons choix ? N’est-ce pas un peu rapide ? Téméraire ?
Une décennie de piétinement à s’efforcer d’être la bonne lecture du monde. Enfin aujourd’hui, à moins d’être un canard, enchaîné de surcroît, je ne vois pas…

Nous consulter, de cet appétit de vivre, et de mort, par quel canaux, et quelles raisons, travaille-t-on à l’unité de ton ?
rien qu’un timbre… à vélo sur un fil… ma devise.
Sérieux, et pas sérieux, ne pas s’abstenir.

DANS LE MIROIR

Comme la douleur est songeuse, et voudrait bien rattraper son peu de vie, son beaucoup de mort. Comme la fleur du visage pense son penchement, son maintien coupé, sa tête posée sur le sourire même de la douleur.

Sommeil d’amour, céleste retour, du visage blanc des veillées, retour d’éveillé le sourcil déçu, retour de Yop ! Les ailes abîmées, la dent qui fait mal, le cheveu mal coupé, le front bosselé, la mine… d’un songe total, je me disais en me regardant dans les vitres de la ville, les clients au visages si réalistes, le mien d’une rêverie difficilement rencontrable. Une nouille pour certain. Un ange m’accompagne pour d’autre. Sinon un diable me secoure. Parce que l’impatience ! L’impatience c’est comme l’accélérateur des voitures, n’est-ce pas messieurs les conducteurs, un jeune que j’te m’écrase pour bien lui faire comprendre qui faut pas traverser là, je fonce, j’accélère, je prends mes droits et j’te fais la morale avec ma tonne d’acier.

Parce que l’impatience c’est votre monde. À cette vitesse là on jette tout ce qu’on fait, et tout ce qu’on dit mieux qu’on fait. Le pire, la chiennerie de la matière…
— Tiens !? D’ailleurs y’a pas qu’des chiens pour garder leur matière aux gens. Tout ce qu’on ne veut pas perdre.
Impatients, chacun à sa manière, tout ce qu’on ne veut pas perdre, le fric, et alors d’la merde y’en a partout, y’a qu’ça, de la matière, comme os à ronger.
Ça c’est pour les animaux. mais le vert des forêts, et les oiseaux à la porte des prés sur des fils électriques font l’effort de tout maintenir… mais la parole d’un oiseau de ses plongeoirs invisibles à ses cônes de vent, dans mon oreille et dans l’infini-météo, la parole d’un oiseau dans aussi loin que les nuages mais vraiment, là-haut, on voit toi, le soleil.
Aussi les machines ne sont pas synchrones, en bruissement exact avec le reste pour que tout s’entende… on entend quand les arbres étouffent un peu les voitures, toute la vie s’orkestre naturellement.
*
Se situer géographiquement quand on est dans une maison, savoir où est la carte géographique immense, mentale, par rapport à cette maison où est la forme à voir, de la position du pôle, du globe, imaginer visuellement, facilement, quand on sait où est le nord, le sud, l’est et l’ouest, regarder vers chaque direction, et redessiner la carte que vous avez là dans votre tête, quelle jouissance ! Puis savoir qu’on se trompe d’orientation !… Et les oiseaux qui passaient passent tous dans la même direction, l’océan, vers l’ouest, où la pluie et le vent ont laissé pleins de coquillages, quand plus personne sur les plages.
*
Le cadre de la fenêtre aujourd’hui, les arbres d’hier, les maisons d’avant-hier et le soleil de toujours.
À MAC

Dans un filet bleu blanc
la main voit courir
ce à quoi rien sert

un rien ? un nerf plus des i
point sur la mer
la pluie
le surf à grand-mère

dans un filet bleu blanc
la main voit courir
ce à quoi rien sert
octobre, la St Bruno
*

 Un bras de mec d’une chemise à manches courtes, posé autour de sa nana, un bras offert à tout le monde, une lascivité cherchent d’autres coups d’yeux d’mecs, un mec doux se donne aux yeux des autres, flattés de désirer le même corps.
Lèvres gourmandes, yeux rêveurs, couilles et bite savamment emmaillotées pour tilter les regards croisés, selon les positions du bassin, des jambes, qui dansent, la boule tourne sa jambe sur celle de sa nana qui dort. Rocker, sa fille sur ses hanches, un regard à la ronde quand il va pisser, un regard quand il en revient.
Il doute, il doute le chérubin, et fait la moue. Le sang qu’il charrie dans son beau corps l’intimide. petite main de la fille sur sa belle grosse nuque. Et lui l’eunuque, regarde, autour, en ayant soin de vider de tout sens son regard.
La fille ressemble au rideau qu’on tire sur son mec. L’œil de la fille que tu surprends quand elle embrasse, est moins généreux que celui de son mec qui se laisse regarder, à ravir.
Autour du cou, à la chaînette, un anneau et une raquette de tennis — les siennes de balles pour le tennis des autres.
RIEN VOIR FAIT ADVENIR

Quand l’attention, l’intuition mène à la déclaration ouverte de désirs, ces parfaits inconnus, le fait de bien voir fait advenir. On devient ce qu’on voit. La vision transforme au fur et à mesure qu’elle voit bien.
*
L’image du père est réconciliée puisqu’il est aimé ; dans son rejet même on le refonde homme d’amour.
*
Crevel, Crevel, donnes-moi du Crevel.
Grand-mère, grand-mère, donnez-moi du grand-mère, géniale !, de celle qu’on préfère.
*
Quand je suis bien, je fais le dégoûté quand je suis pas bien je fais le beau.
Répétez avec moi : quand je suis bien, je fais le dégoûté quand je suis pas bien je fais le beau.
*
“Crevel !? Intéressant, mais voilà où ça l’a mené la révolution et la poésie. Suicidé !”
Mes contemporains ont tous peur, et prennent en contre exemple les risques de brûler, à tout relier et à tout tendre.
Crevel, les pieds dans le plat.
*
Plus d’attentats, ils le savaient, négociations en sous-mains, dette du shah, vente d’arme à l’Irak, pétrole bon marché, mains, mais continuaient à faire fouiller tous les sacs, quelquefois ils s’adressent aux citoyens comme à des chiens — FNAC, BHV, grands magasins.

Le gouvernement négocie une trêve — officieux — et met les français sur le grill, accepter l’ordre de la police partout. En 86, les élections gagnées, ils ont fait se déployer sur toutes les routes et dans les villes de France des policiers. Mieux qu’un spot télé et une image subliminale. Il n’est plus question dans ce contexte, d’avoir une idée différente ou progressiste, impossible le débat d’idées, le racisme des idées c’est nouveau ça, s’auto-censurer, se taire, avec les attentats, les valeurs de 68 sont suspectes. C’est le plus grave, constamment un rappel à l’ordre, comme quoi la démocratie serait étrangère à un état de guerre.

Du chantage à la guerre, c’est bien ce gouvernement qui nous fait la guerre, la machine de guerre du R.P.R. : Rassemblement pour le Pornal Rigolo.
*
Les français romantiques, on ne le sait pas assez : un contentieux. On est perçu romantiques, de l’étranger. Et l’on se ment, oubliant le romantisme noir des origines, pour un romantisme rose. Une déviation du sens. On s’aveugle. On s’aveugle. On vit une époque affreusement matérialiste et affreusement romantique. Un romantisme qui couïne.
L’homme du 18e romantique, et du 19e matériel, est devenu l’individu seul, qui s’étrangle (d’idéaux) à l’ère marchande, à la mort de la religion et de l’identité communautaire de village. L’homme est seul face à lui-même, au cosmos.
Le romanesque c’est morbide et ça m’éveille.

*

JEUNE ET INNOCENT

Un film d’Hitchcock développe touours le point de vue de la femme romanesque, qui a peur du phallus de l’ordre, et invente l’histoire, tisse le scénario de ses manques.
Yeux dilatés face à l’écran, elle rêve, l’histoire.

La rose pourpre du Caire, de Woody Alen.

Le rayon vert, d’Éric Rohmer.
MILIEU DU TERRAIN

Mitterrand : tout pour la recherche qui assure la conscience individuelle. Mitterrand signifie milieu du terrain, en vieux français.
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Quand je faisais, au début, l’amour avec un mec, j’avais Dieu en moi, je découvrais la création elle-même.
*
Il était toute la faiblesse du monde, il avait tellement conscience de toute la faiblesse du monde, il la voyait tellement, la sienne, mais il était le monde, merveilleux, beauté du monde, la fraîcheur du monde.
*
“Il n’y a que la preuve à faire de ce que l’on pense qui présente de sérieux obstacles. Je continue donc mes études.”
Cézanne.
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René Daumal écrit si bien dans le Contre-ciel : dire non, refuser le vêtement tout fait, le pli des parents, c’est être au diapason du monde, c’est être normal que de dire non à 16 ans parce qu’on est spirituel. Dire non, c’est à dire oui — au monde.
*
Une semaine sans sortir quasi de chez moi. Un tour au soleil du square des Batignolles mais il fait froid. Je ne peux pas par moment assumer de faucher dans les magasins pour survivre, d’être un auteur, un créateur qui ne peux pas communiquer. Misère le poète.

Cet après-midi, rendu la maquette de Yoyo à Annie Merlin qui donnera la finition professionnelle, exécutera une maquette d’après la mienne, qu’elle complimente beaucoup. Mais elle reste à faire, elle est indispensable. Tout pour plaire à un éditeur, l’impression clé en main. Drôle d’impression effectivement, comme dit Georges j’en dors pas. Pour autre chose. Mais du coup, après une semaine reclus, sachant le RV avec A., me reviennent … que j’aime S. par exemple, une vraie émotion pour lui. Et puis je rêve, je rêve.
Recueilli, en soi, on se ressemble tellement plus que quand on se donne en spectacle, aux autres, à l’écriture.
C’est toute sa vie, la même émotion, mais tellement compliquée par les méchants et les hasards, par les réacs et les pétards.

POLIR

Mystère — ne pas savoir.
Frémir — ne pas savoir ce dont on se doute.
Le roman-policier est le bon état d’esprit, la curiosité d’une civilisation à même d’identifier l’inconscient. Plus de peurs excessives mais une curiosité en éveil, chacun limier de soi et des autres, dans les ténèbres.

Ô

Selon la situation, la personne se flatte du monsieur, la personne quémande du madame, surtout le respect totalitaire du “j’t’en donne” les acquis de la révolution, s’appeler comme des artistes, “il en faut”, dans les commerces et “merci” comme une prière, selon la situation, la perruque ; ô perruque ô parents.




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